J'ai toujours aimé cuisiner.
Quand j'étais petite; je passais des heures dans la cuisine à regarder ma belle-mère cuisiner.
Chez maman le dimanche matin, on se levait en catimini avec mon frère Bertrand pour faire des crêpes à nos soeurs pour le petit déjeuner.
Mais sortie de la mousse au chocolat et de la tarte au chocolat (dans la famille, si t'aimes pas le chocolat t'es pas un homme), les desserts, c'était pas mon truc. J'adorais en manger, mais je préférais laisser à mes amis industriels Ryan et autres La Laitière et Miko le soin de les fabriquer.
Jusqu'au jour où...j'ai débarqué à Londres.
Du supermarché au Starbucks du coin, le Royaume-Uni est le digne fils des Etats-Unis...et c'est la fille qui peut passer 2h dans un M&Ms store qui vous le dit :
Je te vénère, Empire de la Junk Food.
J'étais comme Alice au pays des merveilles, j'ai rapidement décidé de goûter à tout. Flapjacks, cheesecakes, muffins, banoffee pie, etc...2 mois plus tard, je n'avais pas fait le tour de la moitié de la question et je commençais déjà à être "grasse comme un loukoum".
Et je l'avoue...l'appel du pouvoir commençait à se faire sentir.
Je voulais possèder moi aussi le super pouvoir de la Pâtisserie-qui-fait-trop-culpabiliser-mais-qui-déclenche-des-orgasmes-culinaires.
(quoi, vous ne savez pas ce que c'est qu'un orgasme culinaire? Qu'à cela ne tienne, je vous ferai la liste de mon top 10 des orgasmes culinaires londoniens dans un prochain article)
J'ai donc acheté un livre de pâtisserie britannique (101 Cakes and Bakes, de BBC Good Food), pris un abonnement à la salle de gym du quartier (pour éliminer les millions de calories que je m'apprêtais à cuisiner et ingurgiter) et j'ai commencé.
Tous les vendredis, j'allais amener au travail un gâteau anglais fait par mes soins.
Celui qui allait devenir le traditionnel Friday Cake était né.
Il me tarde de lire tes recettes Pauline!!!!!!
RépondreSupprimerMoi aussi! Vivement la suite que j'essaie vite les douceurs anglaises!
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